Belleflamme Floriane

Correctrice externe depuis mars 2015. Spécialités : livres scolaires, textes juridiques, BD/mangas, romans ; mais je suis ouverte à d'autres domaines de publications. 

Je me débrouille aussi avec des logiciels graphiques : je connais les bases d'InDesign, d'Illustrator et de Photoshop (suite Adobe CS6) ; depuis 2019, j'utilise la suite Affinity, moins connue. Comme je ne suis pas graphiste, ce que je réalise reste "simple". 

Les tâches qui me sont demandées : 

• correction/relecture ortho-typographique, dont reformulation partielle si nécessaire (suggestions), de manuscrits, d’épreuves ou de contenus en ligne (activité principale) ;
• mise en pages sur Word (pour cela j'utilise comme compléments les logiciels Affinity Photo (équivalent de Photoshop) et Affinity Designer (équivalent d'Ilustrator) ; je travaille aussi avec Affinity Publisher (équivalent d'InDesign)) ;
• recherche iconographique, commande de dessins et suivi, préparation de manuscrits, mise en ligne de manuels numériques…

Mes services s'adressent aux maisons d'édition, mais également aux particuliers, à la presse, aux ASBL ou aux entreprises... à toute personne qui rédige des contenus et qui cherche à en améliorer la forme.

Précisions sur le métier de correcteur

1. Il ne suffit pas d’être "bon en français" ni d’avoir obtenu un diplôme en lettres françaises et romanes pour être un correcteur compétent. Le test de correction reste le meilleur moyen permettant de faire la part des choses. N’hésitez pas à me tester !

2. Le correcteur n’est pas un robot. Il sera toujours meilleur qu’un logiciel de correction, mais il reste malgré tout un être humain, soumis aux limites de sa condition. Le correcteur travaille toujours de la manière la plus parfaite possible, tout en ayant conscience de cette réalité : la perfection n'existe pas.

3. Un correcteur relit par heure entre 8 000 signes espaces comprises, voire moins si le texte demande beaucoup de reformulations, et 15 000 (surtout sur une épreuve). Il n’est pas une encyclopédie, ni un dictionnaire, ni une grammaire sur pattes ; faire de nombreuses vérifications dans ses outils est donc au coeur de son métier, et cela prend du temps. Plusieurs textes de même longueur ne se relisent pas de la même manière et n’exigent pas le même nombre d’heures de travail.

4. Le correcteur est un travailleur comme les autres, taxé comme les autres (pour ma part, je dois diviser le montant TTC par 3 environ pour arriver au net). Un manuscrit de 200 000 signes espaces comprises à un rythme de 12 000 à l'heure pour 300 € HTVA ou 363 TTC, cela fait 17,64 € par heure HTVA (17 heures de travail), soit en dessous du montant horaire minimal belge (qui a atteint 20,11 € HTVA en janvier 2023) et en dessous du seuil de pauvreté (belge) si on fait le calcul du net pour un mois de travail à 38 heures par semaine. Le correcteur a pourtant le droit de vivre décemment de son métier.